par Paméla Ramos | 14 avril 2020 | Extraits - Les siestes du Ranch
« Et pour voir ce que cela peut donner, eh bien, je m’en vais éteindre ma lampe électrique. » « D’aucuns diront que la fallacieuse beauté créée par la pénombre n’est pas la beauté authentique. Toutefois, ainsi que je le disais plus haut, nous autres Orientaux nous...
par Paméla Ramos | 12 mars 2020 | Balades littéraires : critiques libres
All around us Hangs an air of darkest doom And it flows out my lungs And slowly fills the room I open up my heart And stick my fingers in But you will never want What I have to give Giles Corey, Blackest Bile À propos des 700 aveugles de Bafia, de Mutt-Lon « Le...
par Paméla Ramos | 9 juillet 2019 | Balades littéraires : critiques libres
Marc Villemain, cela fait bien longtemps que je le sais dans les parages, mais il n’a jamais vraiment été là, comme une ombre familière qui aurait choisi de se projeter depuis une existence trop différente de la mienne, dont je perçois les ondulations comme en bordure...
par Paméla Ramos | 26 juillet 2018 | Balades littéraires : critiques libres
Jamais il ne peut y avoir trop d’enfants, John. Elizabeth Costello vieillit. Cette femme singulière, déjà mise en scène par J. M. Coetzee dans un roman éponyme en 2003, semble avoir lu Robert Musil, n’a de son propre aveu pas eu assez d’enfants, et révèle une écoute...
par Paméla Ramos | 30 août 2014 | Mes invités
Marie, j’ai terminé ton livre. Je l’ai beaucoup aimé car tu n’écris pas comme une femme soucieuse d’écrire comme un homme. Tu n’écris pas comme une femme pour les femmes. Tu écris et tu t’en fous. Tu ne perds pas ton sexe, ne le revendiques pas ni n’en as honte, il...