Paméla Ramos
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Rien, mais plus large – Absolutely Nothing, de Giorgio Vasta et Ramak Fazel

Rien, mais plus large – Absolutely Nothing, de Giorgio Vasta et Ramak Fazel

par Paméla Ramos | 27 juillet 2023 | Balades littéraires : critiques libres

« Il faut arrêter d’aller partout en étant toujours des sujets raides et présomptueux, il faut au contraire se dissoudre, devenir objets, nourriture ou aliment. Passer du consommateur au consommé. Être dévoré par le voyage. » Avez-vous visité l’Hôtel Paisano à Marfa...
« Les gens du désert sont plus faciles à guérir » – Bruce Chatwin, Le Chant des pistes

« Les gens du désert sont plus faciles à guérir » – Bruce Chatwin, Le Chant des pistes

par Paméla Ramos | 30 juin 2023 | Extraits - Les siestes du Ranch

« Dans la foi aborigène, une terre qui n’est pas chantée est une terre morte, puisque, si les chants sont oubliés, la terre elle-même meurt. » « La plus grande partie de l’intérieur de l’Australie n’était que broussailles arides ou désert. Les pluies y tombaient...
L’absente, l’arabe et l’ukrainien | Carnets actifs

L’absente, l’arabe et l’ukrainien | Carnets actifs

par Paméla Ramos | 19 janvier 2023 | Carnets actifs, Chroniques - Journal

Mercredi 18 janvier 2023, 15H30 Fully prepared to bang the Beast before it turns human * On dit qu’il faut tout un village pour élever un seul enfant, c’est en convoquant régulièrement cet adage que je ne m’inquiète plus jamais de la bonne place auprès des miens. Je...
« La condition de l’amour, c’est le silence » – Charles de Foucauld, Déserts

« La condition de l’amour, c’est le silence » – Charles de Foucauld, Déserts

par Paméla Ramos | 16 janvier 2023 | Extraits - Les siestes du Ranch

Pour A.K. « Il faut lire les extraits de ce Dictionnaire touareg-français [de Charles de Foucauld] comme l’un des hymnes les plus lumineux à la beauté de la création, dans la transparence d’un regard qui n’est plus orienté par le désir mais par l’accueil. (…) L’auteur...
Arrivée au Centre, j’attends

Arrivée au Centre, j’attends

par Paméla Ramos | 9 février 2014 | Balades littéraires : critiques libres, Chroniques - Journal

J’avais oublié la brume, ce matin Orléans disparaît. Je descends tôt vers la Loire, à travers les ruelles aux pierres blanches qu’on devine douces, qu’on ne touche pas encore. Depuis que je sais marcher, à nouveau, que je ne me perds plus, j’avale les artères et les...

It's a joy to be hidden, but disaster not to be found.

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Soulever les tombes – Edgar Lee Masters, Des voix sous les pierres
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La France dépecée – Marion Messina, La peau sur la table
De part et d’autre du continent tragique – Llewelyn Powys, De l’ébène à l’ivoire
Le voyage qui n’en finit jamais – Ultramarine, de Malcolm Lowry
« Ah ! la lumière d’Harkness ! » – Malcolm Lowry, Le phare appelle à lui la tempête

Par le passé

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🙃🤩🫨 Réception du jour : THAT monster. Depuis Manassas, North Virginia. « Voilà pourquoi, poussé par mes malheurs dans cette campagne au bout du monde, j’ai revêtu une peau de bique et je travaille la terre, me louant comme journalier pour quatre oboles, philosophant avec le désert et avec ma pioche. Ici, j’ai l’impression que je bénéficierai au moins d’un avantage : ne plus voir prospérer tant de gens qui ne le méritent pas, ce qui est vraiment trop amer. » Le marronnier de saison, suite. Se retrancher contre la plèbe / / Avertissement aux aveugles / « Une joie sauvage, comme un spasme de souffrance, me saisit. La joie de la découverte de la liberté. J'éclatai de rire, tout seul, dans mon coin du hall. » "Elmer Gantry était ivre, éloquemment, amoureusement, agressivement ivre." (Incipit) De guerre crasse - Théma du jour "Horreur" pour le @lemoisamericain Je vous propose mon #bookishpicnic à la suite de @ego_lector_ - Que des livres lus et aimés.

Pile à lire

Je l'ai (bien) entamé, dans la magistrale traduction d'Armel Guerne, au creux d'un écrin vintage de vieux Club du Livre, intransportable. Il m'a fallu me rendre à l'évidence. Il me fallait une édition courante pouvant être détériorée avec application par mes intempestives annotations et coins cornés, sans compter qu'il allait devoir me suivre partout. J'en ai profité pour prendre un V.O. aussi pour me référer au texte. Des fois que cela soit encore trop facile... D'une guerre l'autre, il importera d'être précis, ce pour quoi je me suis pourvue d'un des meilleurs spécialistes de l'histoire militaire, Sir John Keegan. Rien que de l'avoir à mes côtés me rend plus confiante. Ce qui m'amène à ressortir ce RPW de mes étagères, encore non lu. Si quelqu'un s'y oppose, qu'il parle maintenant ou se taise à jamais. Ce pour quoi je ne nourris aucun espoir pour le coup. J'ai reçu également ce beau pavé que j'attendais depuis un mois, droit venu par l'océan d'un revendeur américain (exemplaire de bibliothèque se Virginie du Nord apparemment). C'est donc la biographie de référence de RPW, par celui qui signa déjà celle de Faulkner, dont les 2000 pages ne devraient plus tarder non plus à me rejoindre maintenant. Il vient de paraître chez @editionsfinitude et m'appelait évidemment. On tire un fil.... et tout vient. Continuellement ! Réception des @lesbelleslettreseditions ❤️‍🔥 Pas mécontente d'avoir mis la main dessus, pourtant Bellow, Prix Nobel, remporta le Prix Pulitzer pour ce roman... Nous sommes en septembre 2023 et j'achète encore de la poésie par la Poste à son auteur. Reçu après une fastidieuse journée à Ikea, sans le faire exprès, ce recueil de poésie normale pour gens moyens (comme il sera révélé dans le troisième opus de cette trilogie), me replonge dans l'univers ravissant de *Je vais encore oublier de rentrer chez moi*, que j'avais chroniqué en son temps sur @pamelaramos_bloglivres J'ai bien lu Lumières d'août de Faulkner en août, pourquoi ne poursuivrais-je pas avec September September en septembre ? Pour feindre d'être méthodique....

La lettre du ranch

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