par Paméla Ramos | 23 avril 2024 | Balades littéraires et retours de lecture, Essais littéraires, Littérature francophone, Littératures
« Le mot rarus chez Spinoza est un mot opposé à la saturation. Rara laetitia : éparses les joies. Sed omnia praeclara tam difficilia quam rara sunt. Car tout ce qui est lumineux, tout ce qui est digne de lumière, est difficile autant qu’il est rare. » Le 23...
par Paméla Ramos | 22 avril 2024 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature francophone, Littératures
« À l’heure du soleil ras, le lieu devient féérique. J’aime les contre-jours, quand les sujets s’effacent dans le feu de la lumière. Les corps deviennent silhouettes et gracieux contours, les chevelures se perdent dans un halo doré. Les ombres nous regardent sans que...
par Paméla Ramos | 16 avril 2024 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature argentine, Littératures
« Si une chose existe quelque part, elle existera partout. » Czeslaw Milosz Je m’imagine Andrés Neuman en 2017, né en Argentine il y a tout juste 40 ans, confié depuis peu à la torpeur madrilène, dévoré par la barbe, sous ses longs cheveux, courbé sur cent ans...
par Paméla Ramos | 4 avril 2024 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature argentine, Littératures
« Un sentiment nouveau se mêlait à son humiliation et à sa rage : le désespoir que nous éprouvons quand nous constatons que, pour intense que soit notre désir, les desseins du monde extérieur n’en tiennent aucun compte. » Glose (Glosa, 1986, traduit par la...
par Paméla Ramos | 3 avril 2024 | Arts & Beaux-Livres, Balades littéraires et retours de lecture, Essais littéraires, Littérature argentine, Littératures
« Certains demanderont pourquoi une personne jouissant d’estime et d’affection vit seule… comme je n’ai pas de réponse, j’invoque le destin, et j’explique tout bas que même la mort ne doit pas émouvoir ces gauchos, si versés en immémoriale solitude. » De retour d’un...
par Paméla Ramos | 22 mars 2024 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature argentine, Littératures
… et son expression était si humaine qu’elle m’horrifia… Leopoldo Lugones La couverture du poche est d’une niaiserie sans explication à moins peut-être d’avoir voulu atténuer le choc, ce qui est parfaitement vain, en insinuant une sorte de chicklit facétieuse, ce qui...