par Paméla Ramos | 19 septembre 2024 | Extraits - Les siestes du Ranch, Littérature britannique
« Le bon critique est celui qui raconte les aventures de son âme au milieu des chefs-d’œuvre. » Anatole France On ne doit pas supposer que je réclame pour le romancier la liberté du Nihilisme moral. Je requiers de lui de nombreux actes de foi, le premier étant...
par Paméla Ramos | 6 août 2024 | Extraits - Les siestes du Ranch, Littérature francophone, Littératures
1957 La mission, le seul but de tout homme véritable sur terre : devenir simple et pur. La vraie virilité n’est pas celle des soudards. La vraie virilité, c’est la pureté. [11 octobre] // Moi qui ai longtemps vécu dans l’espérance de ne pas souffrir,...
par Paméla Ramos | 26 juillet 2024 | Essais littéraires, Extraits - Les siestes du Ranch, Littérature américaine, Littératures, Philosophie & idées
Self-Reliance est le deuxième des douze essais rassemblés dans le volume Essays de 1841, édition révisée en 1847, ici traduite par Stéphane Thomas qui y apporte un surcroît de notes gourmandes, tirées d’autres écrits d’Emerson difficiles à trouver, voire...
par Paméla Ramos | 25 juillet 2024 | Extraits - Les siestes du Ranch, Littérature allemande, Philosophie & idées
« Ce volume rassemble les réflexions écrites au cours des années 1942-1972. Trente ans d’une vie consciente, c’est une vaste période, et il m’a fallu faire un choix parmi cet ensemble afin de le présenter ici. […] La concentration de ma pensée...
par Paméla Ramos | 24 juillet 2024 | Extraits - Les siestes du Ranch
« Le poète est celui qui nous apporte l’essentiel. Il est celui qui porte en lui le surcroît d’être. Il est celui qui assume le néant, pour mieux le combattre et le détruire. » Sophie Nauleau à propos de Paul Valet, préface. Extraits : ESPACES VAGABONDS La...
par Paméla Ramos | 17 juillet 2024 | Extraits - Les siestes du Ranch, Littérature américaine, Littératures, Vie sauvage & pérégrinations
« La plupart des voyageurs, ici, se satisfont de ce qu’ils voient depuis la fenêtre de leur véhicule ou la véranda de leur hôtel, et en allant d’un endroit à un autre, ils s’agrippent à leur train ou leur diligence comme des naufragés à leur radeau....