Paméla Ramos
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L’absente, l’arabe et l’ukrainien | Carnets actifs

L’absente, l’arabe et l’ukrainien | Carnets actifs

par Paméla Ramos | 19 janvier 2023 | Carnets actifs, Chroniques - Journal

Mercredi 18 janvier 2023, 15H30 Fully prepared to bang the Beast before it turns human * On dit qu’il faut tout un village pour élever un seul enfant, c’est en convoquant régulièrement cet adage que je ne m’inquiète plus jamais de la bonne place auprès des miens. Je...
L’absente, l’arabe et l’ukrainien | Carnets actifs

Ce bébé, est-ce qu’il a vraiment existé ?

par Paméla Ramos | 24 mai 2021 | Fictions - Récits

« Vous pouvez m’assurer que cela a vraiment existé ? Alors ! » Le bébé, le tendre bébé dans l’intervalle de temps extrêmement réduit entre ses yeux qui pour la première fois se fixent, te plantent dans le coeur la petite certitude qu’ils savent exactement...
Marcel Moreau – « J’écris en recréant les conditions d’intensité du pillage »

Marcel Moreau – « J’écris en recréant les conditions d’intensité du pillage »

par Paméla Ramos | 3 avril 2020 | Extraits - Les siestes du Ranch

« J’ai vu une chose horrible, qui dépasse en turpitude les mondanités. J’ai vu des ouvriers devenir bourgeois. » « De mes enfants. Je ne suis fort qu’en dehors de la petite blessure qu’ils peuvent se causer d’un moment à l’autre. En vérité, je ne suis fort qu’avant le...
Lettre à une jeune guerrière | La Résistance d’Ernesto Sabato

Lettre à une jeune guerrière | La Résistance d’Ernesto Sabato

par Paméla Ramos | 12 juin 2019 | Balades littéraires : critiques libres, Chronique Si tous moi non, Chroniques - Journal

À propos de La Résistance, d’Ernesto Sabato, traduit de l’espagnol (Argentine) par Gabriel Iaculli, Seuil, 2002. Dans cette chronique latine, la narratrice, âgée, s’adresse à Clarissa, une enfant privée de son père, dans une lettre testamentaire, en hommage à La...
Le consentement à la vie | sur L’abattoir de verre de J.M. Coetzee

Le consentement à la vie | sur L’abattoir de verre de J.M. Coetzee

par Paméla Ramos | 26 juillet 2018 | Balades littéraires : critiques libres

Jamais il ne peut y avoir trop d’enfants, John.  Elizabeth Costello vieillit. Cette femme singulière, déjà mise en scène par J. M. Coetzee dans un roman éponyme en 2003, semble avoir lu Robert Musil, n’a de son propre aveu pas eu assez d’enfants, et révèle une écoute...

It's a joy to be hidden, but disaster not to be found.

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Le voyage qui n’en finit jamais – Ultramarine, de Malcolm Lowry
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Par le passé

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🙃🤩🫨 Réception du jour : THAT monster. Depuis Manassas, North Virginia. « Voilà pourquoi, poussé par mes malheurs dans cette campagne au bout du monde, j’ai revêtu une peau de bique et je travaille la terre, me louant comme journalier pour quatre oboles, philosophant avec le désert et avec ma pioche. Ici, j’ai l’impression que je bénéficierai au moins d’un avantage : ne plus voir prospérer tant de gens qui ne le méritent pas, ce qui est vraiment trop amer. » Le marronnier de saison, suite. Se retrancher contre la plèbe / / Avertissement aux aveugles / « Une joie sauvage, comme un spasme de souffrance, me saisit. La joie de la découverte de la liberté. J'éclatai de rire, tout seul, dans mon coin du hall. » "Elmer Gantry était ivre, éloquemment, amoureusement, agressivement ivre." (Incipit) De guerre crasse - Théma du jour "Horreur" pour le @lemoisamericain Je vous propose mon #bookishpicnic à la suite de @ego_lector_ - Que des livres lus et aimés.

Pile à lire

Je l'ai (bien) entamé, dans la magistrale traduction d'Armel Guerne, au creux d'un écrin vintage de vieux Club du Livre, intransportable. Il m'a fallu me rendre à l'évidence. Il me fallait une édition courante pouvant être détériorée avec application par mes intempestives annotations et coins cornés, sans compter qu'il allait devoir me suivre partout. J'en ai profité pour prendre un V.O. aussi pour me référer au texte. Des fois que cela soit encore trop facile... D'une guerre l'autre, il importera d'être précis, ce pour quoi je me suis pourvue d'un des meilleurs spécialistes de l'histoire militaire, Sir John Keegan. Rien que de l'avoir à mes côtés me rend plus confiante. Ce qui m'amène à ressortir ce RPW de mes étagères, encore non lu. Si quelqu'un s'y oppose, qu'il parle maintenant ou se taise à jamais. Ce pour quoi je ne nourris aucun espoir pour le coup. J'ai reçu également ce beau pavé que j'attendais depuis un mois, droit venu par l'océan d'un revendeur américain (exemplaire de bibliothèque se Virginie du Nord apparemment). C'est donc la biographie de référence de RPW, par celui qui signa déjà celle de Faulkner, dont les 2000 pages ne devraient plus tarder non plus à me rejoindre maintenant. Il vient de paraître chez @editionsfinitude et m'appelait évidemment. On tire un fil.... et tout vient. Continuellement ! Réception des @lesbelleslettreseditions ❤️‍🔥 Pas mécontente d'avoir mis la main dessus, pourtant Bellow, Prix Nobel, remporta le Prix Pulitzer pour ce roman... Nous sommes en septembre 2023 et j'achète encore de la poésie par la Poste à son auteur. Reçu après une fastidieuse journée à Ikea, sans le faire exprès, ce recueil de poésie normale pour gens moyens (comme il sera révélé dans le troisième opus de cette trilogie), me replonge dans l'univers ravissant de *Je vais encore oublier de rentrer chez moi*, que j'avais chroniqué en son temps sur @pamelaramos_bloglivres J'ai bien lu Lumières d'août de Faulkner en août, pourquoi ne poursuivrais-je pas avec September September en septembre ? Pour feindre d'être méthodique....

La lettre du ranch

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  • Rien, mais plus large – Absolutely Nothing, de Giorgio Vasta et Ramak Fazel
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  • Voyage avec les déjà-morts – Tandis que j’agonise, de William Faulkner
  • « La vie n’est pas un problème à résoudre » – Georges Bernanos, La Révolte de l’esprit
  • Crise de nerfs en Toyota Corolla – Horacio Castellanos Moya, Le Dégoût
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