par Paméla R. | 3 avril 2020 | Essais littéraires, Extraits - Les siestes du Ranch, Littérature francophone, Littératures
« J’ai vu une chose horrible, qui dépasse en turpitude les mondanités. J’ai vu des ouvriers devenir bourgeois. » « De mes enfants. Je ne suis fort qu’en dehors de la petite blessure qu’ils peuvent se causer d’un moment à l’autre. En vérité, je ne suis fort qu’avant le...
par Paméla R. | 12 mars 2020 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature francophone, Littératures
All around us Hangs an air of darkest doom And it flows out my lungs And slowly fills the room I open up my heart And stick my fingers in But you will never want What I have to give Giles Corey, Blackest Bile À propos des 700 aveugles de Bafia, de Mutt-Lon « Le...
par Paméla R. | 11 mars 2020 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature francophone, Littératures
À propos de Faux Départ, de Marion Messina. « Elle était dépourvue de désirs ; à l’orée de ses dix-neuf ans, elle s’était résolue à ne vivre que pour résoudre les petits problèmes du quotidien. Sa génération n’avait aucune guerre à laquelle s’opposer, aucune réelle...
par Paméla R. | 3 février 2020 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature francophone, Littératures
Tu sais, donc. Tu as traversé, toi aussi. Les galets dans le dos, et le froid, il ne te faut pas bien longtemps pour les prendre pour toi. Echoué et sans secours, tu es déjà mort dans l’indifférence générale. Et puisque tu as eu cette chance infinie de rester un peu...
par Paméla R. | 4 novembre 2019 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature francophone, Littératures
Il me faut témoigner de cette lecture d’une traite, sonnée par le soleil traître logé dans son fond de froid, un après-midi qui n’importe pas. Justice sans autorisation Le narrateur, fils d’un pasteur Danois et d’une mère programmatrice de...
par Paméla R. | 9 juillet 2019 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature francophone, Littératures
Marc Villemain, cela fait bien longtemps que je le sais dans les parages, mais il n’a jamais vraiment été là, comme une ombre familière qui aurait choisi de se projeter depuis une existence trop différente de la mienne, dont je perçois les ondulations comme en bordure...