par Paméla R. | 6 juin 2013 | Balades littéraires et retours de lecture, Essais littéraires, Littérature francophone, Littératures
« Geneviève Bridel : (…) C’est le vertige alors qui vous attirait dans l’alcool ? Jacques Chessex: Non, c’est le culte de la paresse. La consommation régulière et massive d’alcool entretenait en moi une sorte de paresse musicienne,...
par Paméla R. | 1 juin 2013 | Balades littéraires et retours de lecture, Essais littéraires, Littérature francophone, Littératures
« L’homme d’autrefois ne ressemblait pas à celui d’aujourd’hui. Il n’eût jamais fait partie de ce bétail que les démocraties ploutocratiques, marxistes ou racistes, nourrissent pour l’usine ou le charnier. Il n’eût jamais appartenu aux troupeaux que nous voyons...
par Paméla R. | 6 septembre 2010 | Balades littéraires et retours de lecture, Essais littéraires, Littérature francophone, Littératures
« Quelqu’un obstinément cherche à sortir de moi » Arthur Cravan. Les noyés sont des prophètes qui parlent la langue des signes dans des gestes si lents qu’ils balaient notre mémoire. Bertrand Lacarelle. « La mort dans les flots est-elle le dernier mot des forts ? »...
par Paméla R. | 1 novembre 2009 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature francophone, Littératures
« De quoi s’agit-il ? Quelle est cette chose ? – Elle a tué ces hommes. – A-t-elle un nom ? Y a-t-il un nom qui va avec ce visage ? – Ils connaissent tous son nom. – Et vous comment l’appelez-vous ? Satan ? […] – Cette chose les a tués, combien de fois devrai-je...
par Paméla R. | 27 septembre 2009 | Balades littéraires et retours de lecture, Essais littéraires, Littérature francophone, Littératures
Traversée de : La Barque silencieuse, de Pascal Quignard, Seuil, 2009. * Chapitre I Si omnes ego non / Si tous moi non – Devise de Clermont Comprendre que s’extraire c’est rester humain. La vie sociale est un mensonge. La vérité est seule en chacun de nous. Seule,...
par Paméla R. | 1 septembre 2009 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature francophone, Littératures
« Cette chose que j’abritais n’avait rien d’étranger, ce n’était qu’une variante, qui me distinguait, un désordre que je finis par tolérer. Alors, je supportai de me côtoyer de près, ce que la plupart des hommes exècrent. » p13. « L’ensemble était un prodige de...