Paméla Ramos
  • Accueil
  • À propos
  • Index des œuvres citées
  • Balades littéraires & retours de lecture
    • Arts & Beaux-Livres
    • Histoire & civilisations
    • Jeunesse
    • Littératures
      • Essais littéraires
      • Littérature allemande
      • Littérature américaine
      • Littérature argentine
      • Littérature australienne
      • Littérature britannique
      • Littérature francophone
      • Littérature italienne
      • Littérature japonaise
      • Littérature sud-africaine
      • Littératures scandinaves
      • Littératures slaves
      • Poésie
    • Vie sauvage & pérégrinations
    • Philosophie & idées
Sélectionner une page
Avec les anarchistes de l’âme – John Cowper, Theodor et Llewelyn Powys, Les Parias

Avec les anarchistes de l’âme – John Cowper, Theodor et Llewelyn Powys, Les Parias

par Paméla Ramos | 21 juin 2023 | Balades littéraires et retours de lecture, Essais littéraires, Littérature britannique, Littératures

Contient six portraits de marginaux de Llewelyn Powys, Soliloques d’un ermite de Theodor Francis Powys, L’Art du discernement, Nietzsche, Oscar Wilde, Emily Brontë, et Jugement suspendu de John Cowper Powys, choix, traduction et notes de Patrick Reumaux....
De l’impossibilité d’être intellectuel et moral – Fernando Pessoa, L’Education du stoïcien

De l’impossibilité d’être intellectuel et moral – Fernando Pessoa, L’Education du stoïcien

par Paméla Ramos | 23 mars 2020 | Balades littéraires et retours de lecture, Essais littéraires, Littératures

Le Baron de Teive, 20e du nom d’une illustre famille portugaise, va se donner la mort. Intellectuel et moral, il n’a rien pu laisser derrière lui, préférant brûler ses ébauches de manuscrits. Seul un ultime journal, courtes pages laissées en guise de témoignage...
Une rencontre comme on n’en fait plus – La Peau dure, de Sylvain Desclous

Une rencontre comme on n’en fait plus – La Peau dure, de Sylvain Desclous

par Paméla Ramos | 14 janvier 2020 | Chroniques - Journal

Fracture Pousser seul sur un tas d’ordures, tortures Redouter d’être une imposture, froidure Qui nous gerce le cœur Et rouille les jointures Oui, je les ressens Oui, je les ressens, comme toi. Étienne Daho, La peau dure À propos du film documentaire La...
Pourquoi faut-il lire les Lettres du Nord ? Adieu à Boyer

Pourquoi faut-il lire les Lettres du Nord ? Adieu à Boyer

par Paméla Ramos | 9 juillet 2017 | Balades littéraires et retours de lecture, Essais littéraires, Littératures, Littératures scandinaves

Cela fit comme un cri d’oiseau étrange sur le lac désert. Savoir si l’oiseau était grand ou petit, cela ne s’entendit pas. Tarjei Vesaas, Les Oiseaux. Régis Boyer est mort le 16 juin dernier, à 84 ans, et j’ai tardé à m’en émouvoir, prise dans la course folle de ma...

It's a joy to be hidden, but disaster not to be found.

DW Winnicott

Derniers articles

À contre-monde – Pierre Cendors, Archives du vent, L’Invisible dehors et Vie Posthume d’Edward Markham
Stevenson vs Thoreau, le choc des petits taons – Robert Louis Stevenson, Un roi barbare
En apnée – Étoile distance, de Roberto Bolaño
« Je ne sais pas qui m’aide » – Guillevic, Sphère suivi de Carnac
Énergie mortelle – Tu n’as rien vu à Fukushima, de Daniel de Roulet
« Le bon artiste ne devrait attendre aucune reconnaissance pour son labeur » – Joseph Conrad
Voler sur l’Amérique – Paul Morand, Air indien
Percer les brumes des préjugés – Marion Dapsance, Le bouddhisme des bouddhistes
Au début, le blanc — Kenneth White, En toute candeur
« Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu faim » – Jean-René Huguenin, Journal

Par le passé

Ouvrages cités

Index des œuvres citées

Instagram

À contre-monde <> L'invisible dehors, Archives du vent et Vie posthume d'Edward Markham de Pierre Cendors. Avec deux rentrées littéraires de retard je rattrape cette fable sur une cordée à l'assaut d'un sommet impossible à toucher, que je repose tranquillement page 50 (ce fameux cap que je passe, moi, ou non) sans avoir senti l'ombre d'un début de frémissement d'intérêt. Nouvelles joyeusetés au courrier 🕳🫀 Livres terminés ce mois-ci. La plupart ont déjà leur rapport posté. Les autres viendront. 🕳️ "Un homme vrai n'est ni d'un autre temps, ni d'un autre lieu, il est le centre des choses. Là où il est, là est la nature. Il vous mesure, et tout homme et tout événement." Stevenson vs Thoreau, le choc des petits taons 🕳️ « Impossible quand même de renoncer à l'ambition de ma vie : écrire et vivre d'un seul élan, d'un même mouvement. Devenir le héros de mes romans. C'est, je crois, l'ambition des romantiques (chez les classiques, au contraire, l'œuvre est miraculeusement isolée, protégée des actes de son auteur). » Que Roberto Bolaño me pardonne les considérations qui vont suivre et ne sauraient rendre un reflet fidèle de ce que d'aucuns ouvrant ce livre d'astre inaccessible pourraient s'attendre à lire. C'est que, fidèle à une conception chaotique des rencontres, je n'ai pas commencé par le début, de la même façon que je ne lis jamais les cartels dans les musées, où je ne me rends plus d'ailleurs. Le début serait La Littérature nazie en Amérique, recueil de nouvelles qui ont véritablement lancé sa carrière en prose, lui qui se réclamait poète avant tout. Malade du foie (il en mourra à 50 ans, en 2003) - jeune père, il se convainc de gagner mieux sa vie avec des romans qu'avec des poèmes, ce qui est triste, peut-être souvent faux, mais pas quand on s'appelle Bolaño et qu'on écoute "l'extase" qui rend impossible toute autre espérance de vie. Etoile distante s'embryonne à partir de la fin de La Littérature nazie afin de fournir la matière d'un roman qui, j'en suis la preuve vivante, peut se lire à part : les miroirs littéraires dont Bolaño a toujours été friand, comme inventer des auteurs de références ou des courants littéraires (mention spéciale ici à ses "Ecrivains barbares", ingérant, déféquant et vomissant sur les classiques pour leur plus organique absorption), sa prose frénétique et chargée, comme s'il était aussi pressé de se débarrasser de nous que tenté de nous en ajouter encore afin que l'on ne parte pas les mains vides, tout le jeu mécaniquement intellectuel que cet admirateur de Borges met en place ne nous laisse, admettons-le, que peu de chances, quoi qu'il en soit, de le suivre en toute lucidité. Il faut être un peu apnéiste, n'avoir pas peur de perdre ses appuis dans la descente qui nous fait voir, accélérées, les vies heurtées de ces personnages de poètes étranges. Car ce sont des poètes, oui, ne partez pas. Des poètes tueurs, des poètes possiblement à la solde de l'oppresseur, et d'autres révulsés, qui s'exilent ou se laissent encercler. 🕳 suite en commentaire 🕳 Une bien triste nouvelle me parvient ce matin : Irma Vep est morte hier. Depuis des années, 12 ans, 15 ans peut-être ? Depuis la fondation de sa maison d'édition Le Vampire actif, je suivais les aventures de cette femme que je ne connaissais pas, j'étais rassurée par le retour régulier de ses lectures, de son chat Gouster, de ses péripéties en médiathèque, des évolutions de son carré rouge flamboyant et de notre passion commune pour David Bowie. Au milieu des petits pugilats elle semblait ne jamais s'inquiéter, ne jamais s'en mêler. Elle avait la hauteur de la simplicité, de celles que l'on n'a aucun besoin de forcer. J'aurai toujours une pensée pour elle en écoutant Major Tom. Ground Control to Karine Cnudde : j'espère que la vue est belle. 🖤

Etagères

  • Arts & Beaux-Livres
  • Balades littéraires et retours de lecture
  • Chroniques – Journal
  • Essais littéraires
  • Extraits – Les siestes du Ranch
  • Histoire & civilisations
  • Jeunesse
  • Littérature allemande
  • Littérature américaine
  • Littérature argentine
  • Littérature australienne
  • Littérature britannique
  • Littérature chinoise
  • Littérature francophone
  • Littérature italienne
  • Littérature japonaise
  • Littérature sud-africaine
  • Littérature tchèque
  • Littératures
  • Littératures scandinaves
  • Littératures slaves
  • Mes invités
  • Philosophie & idées
  • Poésie
  • Vie sauvage & pérégrinations

Vous souhaitez recevoir les articles ?

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Derniers articles

  • À contre-monde – Pierre Cendors, Archives du vent, L’Invisible dehors et Vie Posthume d’Edward Markham
  • Stevenson vs Thoreau, le choc des petits taons – Robert Louis Stevenson, Un roi barbare
  • En apnée – Étoile distance, de Roberto Bolaño
  • « Je ne sais pas qui m’aide » – Guillevic, Sphère suivi de Carnac
  • Énergie mortelle – Tu n’as rien vu à Fukushima, de Daniel de Roulet
  • « Le bon artiste ne devrait attendre aucune reconnaissance pour son labeur » – Joseph Conrad
  • Voler sur l’Amérique – Paul Morand, Air indien
  • Percer les brumes des préjugés – Marion Dapsance, Le bouddhisme des bouddhistes
  • Au début, le blanc — Kenneth White, En toute candeur
  • « Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu faim » – Jean-René Huguenin, Journal
  • « Votre bonté doit avoir du tranchant » – Ralph Waldo Emerson, Compter sur soi [Self-Reliance]
  • « De ne pas être écouté me stimule » – Elias Canetti, Le territoire de l’homme
  • Un amour à ne pas prendre – Patrick Tudoret, Le petit livre de l’amitié
  • « Il me reste le Refus pour survivre » – Paul Valet, La Parole qui me porte et autres poèmes
  • « Si ce n’est pour une autre raison » – John Muir, Préserver les solitudes
  • Sommaire du site
  • Index des œuvres citées
  • À propos

© 2005-2024 Paméla Ramos | Mentions Légales