Cabrini-Green | La place du mort

Cabrini-Green | La place du mort

Soudain tu es à la place du mort, la fenêtre grande ouverte. Moite, parce qu’il fait encore trop chaud à 3h du matin, et le pitch black peine à céder aux taches sales, vaguement jaunes des spots, ouais, des spots des rues, là, les « réverbères » pour dire un mot bien...
Rochester mon amour

Rochester mon amour

Il parlait sans cesse de l’instant précis où il prenait une vie : de luminosité accrue, de grand silence. J’ai pensé à un orgasme, et je m’en suis voulu. Mauvaise, lubrique.  Petite, je pleurais la mort des méchants dans les dessins animés. Je n’ai pas supporté le...