par Paméla Ramos | 28 juillet 2023 | Extraits - Les siestes du Ranch, Littérature américaine, Littératures, Poésie
[Contient : Poèmes de jeunesse ou Juvenilia (1925-1933) et Dollarton, 1940-1954 : poèmes choisis, 1947. Préfacés et traduits par Jacques Darras.] Morceaux choisis « Ne jamais déchoir de fidélité à la lumière, N’as-tu pas dit, Melville ? Mais pourquoi pas, Grand...
par Paméla Ramos | 9 juin 2023 | Balades littéraires et retours de lecture, Littératures, Poésie
il a coutume de placer un trou sur un autre, il annonce de grandes trombes, principales mesures du frisson, la température varie beaucoup coïncidant avec d’intenses réflexions à la fin des fêtes dont on n’est pas venu à bout, sans jamais être allé à Pompéi, il prend...
par Paméla Ramos | 1 septembre 2022 | Balades littéraires et retours de lecture, Chroniques - Journal, Littérature francophone, Littératures, Poésie
Il y a quelques mois, bien entouré d’autres, j’ai lu ce poème Ni chagrin d’amour ni combat de reptiles. J’ai pensé me faire tatouer le titre sur le bras, comme une bravade mystérieuse vers des ennemis invisibles et des copains imaginaires. Mais...
par Paméla Ramos | 9 mars 2021 | Extraits - Les siestes du Ranch, Littératures, Poésie
La poésie, c’est une manière d’être attrapé par le sens, et de s’y tenir, parce qu’on ne peut plus faire autrement. Se tenir dans la façon dont on a été saisi, c’est déployer la description de ce saisissement : sans doute ce qu’on appelait, autrefois, un chant....
par Paméla Ramos | 16 avril 2019 | Balades littéraires et retours de lecture, Chroniques - Journal, Littérature américaine, Littératures, Poésie
CHARLES BUKOWSKI, SUR L’ÉCRITURE (TRAD. ROMAIN MONNERY, AU DIABLE VAUVERT, 2017) Résumé de l’éditeur – Une anthologie de textes inédits sur l’écriture, le quotidien d’une véritable légende américaine, icône de la contre-culture. Ces lettres aux éditeurs, directeurs de...
par Paméla Ramos | 18 mars 2019 | Extraits - Les siestes du Ranch, Littérature américaine, Littératures, Poésie
« L’idée est là mais j’arrive pas à transpercer la peau. je reste à la surface. La poésie ne m’intéresse pas. Je ne sais pas ce qui m’intéresse. Noyer l’ennui, j’imagine. La poésie à proprement parler me paraît morte même si elle a belle allure. » 1953 * « Ai écrit...