« Alors, quand me pardonneras-tu d’être un homme ? » Serge Rezvani, Vers les confins.

Lettre de Norman Mailer à sa femme Béatrice pendant la guerre du Pacifique pendant laquelle il a écrit "Les Nus et les Morts"

Lettre de Norman Mailer à sa femme Béatrice pendant la guerre du Pacifique durant laquelle il a écrit « Les Nus et les Morts »

Capture du film  Norman Mailer, Histoires d’Amérique, France 2, 1998.

I was in deep rage. I came in contact for the first time of my life with the depth of my own rage. And it was large. 

in BBC, Oh My America, first part  :

Pour poursuivre la route ensemble...
André Breton, les masques et le faisceau colossal de forces instinctives

Dans son bel ouvrage Les Masques, M. Georges Buraud a été le premier à dégager le sens profond du besoin qui, en tous temps et en tous lieux, a porté l’homme à dérober son visage derrière une figure modelée à l’apparence d’un animal, à l’image d’un ancêtre ou conçue comme représentative > Lire plus

« La vie n’est pas un problème à résoudre » – Georges Bernanos, La Révolte de l’esprit

On voit ainsi beaucoup de malheureux passer d’une opinion à une autre, et nous nous apercevons vite qu’ils n’ont fait que changer de fauteuil : la seule chose qu’ils ne savent pas faire, c’est de se tenir debout.

Nelly Sachs, Lament

Aux Marie, de Belgique, de Corse et d'ailleurs Je prends la parole sacrée de la poétesse allemande Nelly Sachs, liée en des bribes ardentes vers un unique livre que toutes ses dernières forces promettent. Je les sépare pour apaiser ma peur, mais toujours l’ensemble survit. Étouffée, rendue muette par les > Lire plus

Junichirô Tanizaki, Éloge de l’ombre – La fallacieuse beauté de la pénombre

Tout bien pesé, c’est parce que nous autres, Orientaux, nous cherchons à nous accommoder des limites qui nous sont imposées que nous nous sommes de tout temps contentés de notre condition présente ; nous n’éprouvons par conséquent nulle répulsion à l’égard de ce qui est obscur, nous nous y résignons comme > Lire plus

Sur la digue | Hugo von Hofmannsthal

  On évoque souvent la murène du Romain Crassus. […] lorsque Crassus l’appelait, elle reconnaissait le ton de sa voix et elle nageait vers lui. […] Crassus alla même jusqu’à la pleurer et à l’enterrer lorsqu’elle mourut. Un jour que Domitius lui disait « Imbécile, tu pleures la mort d’une murène », > Lire plus

Désordre tranquille – Fernando Pessoa, Proses I & II

« Nous écrivons à dessein ces pages sur un ton, dans un style et sous une forme qui ne sont pas populaires, afin que l’opuscule choisisse de lui-même le public apte à le comprendre. Tout ce qui, en matière de questions sociales, est facile à comprendre est faux et stupide. Les > Lire plus

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