par Paméla Ramos | 22 août 2023 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature francophone, Littératures
Un premier roman fabuleusement belge mais qui se réclame du « jus de bayou », cet esprit louisianais croisant le grand rire noir musical (dont Llewelyn Powys nous a déjà appris à nous méfier, ainsi que Julien Delmaire), la nonchalance des racines bien amarrées et les...
par Paméla Ramos | 21 août 2023 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature francophone, Littératures
Nous, en France, dans deux ans. Ou peut-être déjà nous. Dans une France devenue inqualifiable. Voici le tableau que Marion Messina, après son premier roman Faux départ dont j’ai dit ici tout le bien que je pensais et dans la même veine « roman social » dans lequel...
par Paméla Ramos | 5 juillet 2023 | Essais littéraires, Extraits - Les siestes du Ranch, Littérature francophone, Littératures
« C’est la première fois de ma vie que je prends part à une enquête comme la vôtre, et il a fallu tout votre savoir-faire professionnel et toute votre bonne grâce pour que je réponde à celle-ci. J’ai une prévention contre les enquêtes. On en a beaucoup abusé dans mon...
par Paméla Ramos | 28 juin 2023 | Essais littéraires, Extraits - Les siestes du Ranch, Littérature francophone, Littératures
« Il y a un secret plus grave. L’amour n’est pas que guerre prédative ni les baisers seulement carnivores. La nuit ne tend pas vers le jour. La nuit est un monde. Quelque chose qui appartenait au bonheur se perd dans l’étreinte. Il y a dans le plus...
par Paméla Ramos | 16 mai 2023 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature francophone, Littératures
« J’avais devant moi une journée creuse ; et le besoin de me sentir le cœur net de l’envoûtement bizarre de ces bois sans joie. » Cette Maison de Julien Gracq, autour de laquelle le narrateur tourne depuis les sous-bois après l’avoir trop rêvée, entr’aperçue maintes...
par Paméla Ramos | 10 mai 2023 | Balades littéraires et retours de lecture, Littérature francophone, Littératures
« Il suffit d’un changement de langue et de quelques milliers de kilomètres pour rendre son moi plus élastique. La vie antérieure devient ésotérique, elle n’est plus qu’un souvenir douteux. » Mais comment son fils qui ne savait pas changer une ampoule en Argentine...